Vallouimages

Vallée de l'Ubaye Serre-Ponçon

Ubaye-Serre-Ponçon
 
Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts
 

Ubaye-Serre-Ponçon - La Bréole

La Bréole, d'or à un

taureau de gueules

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Ubaye-Serre-Ponçon
 
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Cadran solaire (a) à

Saint-Vincent-les-Forts

Ubaye-Serre-Ponçon - Cadran solaire à Saint-Vincent-les-Forts

 

Ubaye-Serre-Ponçon - Cadran solaire à Saint-Vincent-les-Forts

Photo Vallouimages

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Sculpture sur bois

d'Alexandre Berlioz (b)

Ubaye-Serre-Ponçon - Sculpture sur bois d'Alexandre Berlioz

Photo Vallouimages

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La Bréole - Le barrage

Ubaye-Serre-Ponçon - Le barrage

Photo Vallouimages

Mars 2012

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La Bréole - Le village

Ubaye-Serre-Ponçon - La Bréole, église Saint-Pierre

Collection Vallouimages

Vers 1960

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La Bréole - Le village

Ubaye-Serre-Ponçon - La Bréole, le village

Collection Vallouimages

Vers 1960

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La Bréole

Église Saint-Pierre

Ubaye-Serre-Ponçon - La Bréole, église Saint-Pierre

Collection Vallouimages

Vers 1900

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La Bréole - Le village

En direction de la Rouvière et du col de Charamel

Ubaye-Serre-Ponçon - La Bréole, en direction de la Rouvière

Collection Vallouimages

Vers 1960

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Saint-Vincent-les-Forts
La Montagnette (2333 m)

Dormillouse (2505 m)

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Photo Vallouimages

Mars 2012

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Saint-Vincent-les-Forts

Basse Ubaye

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Photo Vallouimages

Février 2019

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Saint-Vincent-les-Forts

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Collection Vallouimages

Photo Rava, vers 1880

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De Saint-Vincent-du-Lauzet à Saint-Vincent-les-Forts

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Collection Vallouimages

Vers 1900

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Le Village

Le fort, les Auches

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Collection Vallouimages

Vers 1900

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Le Village

Le fort, les Auches

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Photo Vallouimages

Vers 1900

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Le Village

Le fort, les Auches

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Photo Vallouimages

Vers 1900

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Le Village

Le fort, les Auches

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Collection Vallouimages

Vers 1900

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Le Village

Le fort, les Auches

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Photo Vallouimages

Vers 1920

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Le Village

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Collection Vallouimages

Vers 1900

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Le Village

Hôtel Liotard

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Collection Vallouimages

Photo E. Vial, Vers 1930

La voiture est celle du photographe

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Fort Saint-Vincent,

dit Fort Joubert

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Collection Vallouimages

Vers 1900

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Tour à hourds,

dite Tour Vauban

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Document L'Inventaire (15)

1920

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Saint-Vincent-les-Forts

Caserne  Courtigis 

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Collection Vallouimages

Vers 1900

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Saint-Vincent-les-Forts

La Lautaret

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts, le Lautaret

Photo Vallouimages

Vers 1930

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Vallée de l'Ubaye Serre-Ponçon

Ubaye-Serre-Ponçon

La Bréole - Saint-Vincent-les-Forts

Citer cet article

Ubaye-Serre-Ponçon - La Bréole

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Ubaye-Serre-Ponçon (1) est une commune nouvelle créée le 1er janvier 2017 à la suite du regroupement des deux anciennes communes de La Bréole et de Saint-Vincent-les Forts, situées sur la rive gauche du Lac de Serre-Ponçon, dans le département des Alpes-de-Haute-Provence. Les deux communes s’étaient précédemment regroupées dans la petite communauté de communes Ubaye/Serre-Ponçon (du 1er janvier 2002 au 31 décembre 2016). L’intégration au 1er janvier 2017 de cette communauté de deux communes dans  la communauté de communes de l’Ubaye a précipité la création de la commune nouvelle. Son chef-lieu est situé à La Bréole et les deux anciennes communes sont devenues deux communes déléguées au sein de la commune nouvelle. Elle fait partie de la communauté de communes Vallée de l'Ubaye Serre-Ponçon.

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Un regroupement logique, un nom touristique

C’est un regroupement logique de deux communes déjà habituées à travailler ensemble au sein de la communauté de communes qu'elles constituaient précédemment (2). La commune nouvelle a 730 habitants (population municipale au 1er janvier 2019), dont 352 Bréolais et 378 Pangouniers (3). La commune du Lauzet-Ubaye, avec ses 198 habitants aurait pu adhérer à la commune nouvelle pour augmenter le poids de la basse Ubaye dans la communauté de communes Vallée de l'Ubaye Serre-Ponçon. Mais au sens strict, ni La Bréole, ni Saint-Vincent-les-Forts ne font partie de l'Ubaye. Une frontière entre le Royaume de France et les États de Savoie les en séparait et le poids de l'histoire apparaît encore en filigrane, comme c'était déjà le cas dans le découpage des précédentes communautés de communes.

La commune nouvelle Ubaye-Serre-Ponçon représente le pôle Serre-Ponçon dans la communauté de communes Vallée de l'Ubaye Serre-Ponçon, ce qui est surtout important pour la communication touristique alors même que « le sentiment d'appartenance des habitants est davantage tourné vers Seyne-les-Alpes, voire Montclar, communes des Alpes-de-Haute-Provence » (4) que vers Barcelonnette et l'Ubaye. En considérant en plus que « vu la configuration des lieux, les habitants se sentent peu rattachés à "l'entité de Serre-Ponçon", considérant la partie du lac sur leur territoire comme la branche ubayenne : "Serre-Ponçon, ce sont les autres". » (5), il semble bien que le nom même de la commune nouvelle résulte, non d'une appartenance, mais d'un opportunisme géographique et touristique.

À vrai dire, le sentiment de non appartenance à l'Ubaye n'a pas beaucoup évolué. Ainsi en 1937, il est remarqué que les communes de l'ouest de l'ancien canton du Lauzet (Pontis, La Bréole, Saint-Vincent et Ubaye) avaient plus de relations avec Gap qu'avec Barcelonnette et que les relations avec Digne étaient « insignifiantes » (6).

Aujourd'hui, les cantons du Lauzet et de Barcelonnette ont fusionné et les communautés de communes ubayennes également, mais Pontis, plus tourné vers Embrun que vers Barcelonnette, a fait sécession et a rejoint la communauté de communes haut-alpine de Serre-Ponçon. La roue tourne et le poids touristique de Serre-Ponçon l'emporte.

Le dynamisme démographique se trouve d'ailleurs de ce côté. Entre 2019 et 2016, la population de Ubaye-Serre-Ponçon a augmenté de 4 %, tandis que celle du canton de Barcelonnette diminuait de 2 % et celles additionnées du Lauzet-Ubaye et de Méolans-Revel chutaient de 4 %.

Ubaye-Serre-Ponçon - Vue générale par-delà le Sauze-du-Lac, montagne de Dormillouse (2505 m)

Ubaye-Serre-Ponçon - Vue générale par-delà le Sauze-du-Lac

 Photo Vallouimages - Février 2019

La Bréole

Le nom de La Bréole apparaît au XIIe siècle sous la forme Bredola dans le cartulaire des moines de l'abbaye de Saint-Victor. Il est rattaché à l'occitan breda / bredo, buisson, épine (7). Il s'agit d'une probable réactivation d'un ancien nom dérivé de la racine *bar, rocher, promontoire rocheux (8).

L’habitat va connaître plusieurs localisations. Quand les moines de Saint-Victor sont présents aux XIe et XIIe siècles, c’est dans un milieu ouvert, non défensif, sans doute à l’emplacement du village actuel. A partir du début du XIIIe siècle, un castrum va se former sur un piton difficile d’accès à 1 km au nord du village actuel, toujours dénommé Le Château. Une nouvelle église est construite accompagnée du cimetière. Durant les guerres de Religion, le siège et la prise du château en novembre 1586 par les catholiques marquent la fin du village perché, l’habitat retournant dans les collines en hameaux et fermes dispersés (9).

L'église Saint-Pierre actuelle date du XVIe siècle. Mais elle fait suite à un édifice plus ancien remontant au XIe siècle, un prieuré confirmé à Saint-Victor en 1079 et 1080 qui deviendra église paroissiale. Abandonnée comme paroisse lors de l’enchâtellement, avec transmission de la titulature à l'église castrale, l'église retrouva son statut et sa titulature lors du déperchement en 1586 (10).

Ubaye-Serre-Ponçon

La Bréole - Église Saint-Pierre (XVIe siècle)

La Bréole - Clocher en premier plan du Sauze-du Lac

Ubaye-Serre-Ponçon - La Bréole Ubaye-Serre-Ponçon - La Bréole

 Photos Vallouimages - Mars 2012

La dispersion de l'habitat sur le plateau qui domine le lac de quelques deux cents mètres se traduit par une dizaine de hameaux, parfois éloignés du chef-lieu ; la ferme de l'Aiguille, au fond de la vallée de la Blanche, est le lieu habité le plus extrême :

Chancelas, souvent écrit Champcelas, par attraction paronymique, qui désigne un lieu enclos, soit au propre, soit au figuré, de l'ancien occitan cancèl, chancèl, grille, clôture (11), à l'est-nord-est ;

Charamel (église Saint-Marc), qui pourrait évoquer un sobriquet construit sur l'occitan calam, calamel, roseau (à écrire), chaume, chalumeau (12), au sud du col de Charamel ;

Costebelle ou Coste-Belle (église Saint-Marcellin, mentionnée en gros caractères sur la Carte de Cassini), beau versant, belle pente (propice à la culture), au sud-est ;

l’Eygaye ou l'Egaye, l'eau, au sud du col de Charamel ;

Fermeyer, au sud du col de Charamel ;

les Eyrauds, un patronyme, dans la vallée de la Blanche ;

les Forests, lieu éloigné, au-dessus de la gorge de raccordement de la Blanche ;

la Garde (église Saint-Barthélemy, 1695), dans la vallée de la Blanche ;

les Goirands, un patronyme, à l'extrémité sud-est ;

les Laphonds ou les Lafons, un patronyme, au sud-est ;

la Rouvière, la rouraie, au sud, en direction du col de Charamel.

De Saint-Vincent-du-Lauzet à Saint-Vincent-les-Forts

Saint-Vincent-les-Forts, Castrum sancti Vincentii au début du XIIIe siècle, doit son nom au saint tutélaire de son église, saint Vincent de Saragosse. À la Révolution, il se nomma Mont-Clocher, Vincent-la-Lauze, Montrocher en1793, puis en 1801, Saint-Vincent et Saint-Vincent-du-Lauzet. Il prit son nom définitif, Saint-Vincent-les-Forts, en 1923.

La position stratégique de l'ancien village frontière, construit sur une crête rocheuse qui domine la basse Ubaye, lui a valu les forts tournés vers l'amont qui lui ont donné son nom, du castrum médiéval aux constructions de Vauban du XVIIe siècle (après les invasions savoyardes de 1690 et 1692), puis de Séré de Rivière au XIXe siècle, sous la protection de la batterie de Dormillouse, également appelée Col-Bas ou Colbas (13), point culminant de la commune à 2505 m d'altitude.

Ubaye-Serre-Ponçon

Saint-Vincent-les-Forts - À droite, l'Auchette

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Photo Vallouimages - Mars 2012

Saint-Vincent-les-Forts - Le village et le Fort Saint-Vincent

Un spot pour les parapentistes

Saint-Vincent-les-Forts - Le Village et les Auches

Église Saint-Pierre (XVIe siècle) et le Fort Saint-Vincent

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

Photos Vallouimages - Mars 2012, février 2019

Le village chef-lieu semble être le village historique de Saint-Vincent-les-Forts. Localement, le nom s'est toponymisé, le Village. Son église érigée en contrebas du fort date du XVIe siècle. Une première église aurait été édifiée sur le même emplacement en 1237. Sa position dominante à 1300 m d'altitude permettait aussi de surveiller les grands chemins descendants de Barcelonnette vers Gap, Embrun et de contrôler les itinéraires vers Seyne et Digne par les « tourniquets » du Lauzet, alors à peine praticables à cheval (14, 15). Il n'a conservé que la mairie annexe et un restaurant d'assez bonne réputation L'Auberge montagnarde, à la place de l'ancien Hôtel Liotard, +33 9 86 58 99 83. Une soixantaine de personnes habitent au Village.

Le hameau du Lautaret , parfois écrit Lautharet, s'est développé en contrebas au carrefour des routes d'Embrun à Seyne, par Pontis et Ubaye, et de Gap à Barcelonnette. On l'atteignait depuis le Plan d'Ubaye par une raide montée de près de 300 mètres, d'où son nom, Lautaret, lieu en hauteur, construit sur les racines alt / aut, hauteur avec le suffixe -aret. Aujourd’hui c’est au Lautaret, plus peuplé que le village, que sont implantées une école élémentaire toute neuve, l'agence postale et une boulangerie faisant petite épicerie et petite restauration sur place. L'église Notre-Dame de l’Assomption fut construite au début du XIXe siècle par les paroissiens qui trouvaient le chemin trop long pour se rendre à l’église Saint-Vincent.

La Carte de Cassini, ci-dessus, indique la présence d'un moulin alimenté par un canal au Plan d'Ubaye,  à proximité du pont.

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts, Carte de Cassini

Parmi les autres hameaux de l'ancienne commune, on peut citer :

les Terrasses ; Bronsing, à la graphie fluctuante (16), obscur ; l'Auchette (17), lieu cultivé ; les Garreaux, un patronyme ; situés aux alentours du Lautaret ;

Les Chabrands, les Berlies ou Berlis (chapelle Saint-Antoine), les Giéris, les Rollands, les Mathéris, en montant du Lautaret jusqu'au col Saint-Jean, vraisemblablement des patronymes ;

la Combe, en arrivant au chef-lieu ; le Villaret, sur un replat dans la pente sous le chef-lieu à l'est, dont le nom atteste l'ancienneté au moins moyenâgeuse.

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Notes :

(a) Cadran solaire signé JFG, Jean-François Gavoty, 2015, Can vei la lauzeta, « Quand je vois l’alouette… ». Lauzeta, selon l'écriture d'origine chez Bernart de Ventadour au XIIe siècle. Can vei la lauzeta mover.

(b) Sculpture sur bois d'Alexandre Berlioz, 26400 Allex, devant la mairie annexe.

(1) Conformément aux recommandations de la Commission nationale de toponymie (CNT), la graphie officielle du nom de la commune nouvelle est Ubaye-Serre-Ponçon, et non Ubaye – Serre-Ponçon ou Ubaye Serre-Ponçon. Tous les mots constitutifs doivent en particulier être reliés par des traits d'union (à l'exception d'un éventuel article initial), sans espace de par et d'autre. Les traits d'union marquent l'unité administrative de la commune alors que Ubaye et Serre-Ponçon sont deux entités propres. L'erreur est même commise sur le site internet de la commune où les deux graphies proscrites sont utilisées.

(2) Le message du maire, Jean-Michel Tron, à l'occasion de la création de la commune nouvelle :

« Le 1er janvier 2017 est une date historique pour nous. Saint Vincent les Forts et La Bréole se sont effacés pour voir naître Ubaye Serre-Ponçon. Notre nouvelle commune s’étend à présent du Villaret à Chaussetive. 
Cette décision politique qui était évoquée depuis de nombreuses années s’est concrétisée avec la réforme territoriale voulue par l’état, la fusion de nos deux inter-communalités a provoqué le mariage de nos deux communes. En effet le choix était de grandir pour être plus fort, pouvoir exister dans la vallée de l’Ubaye et plus encore en être une richesse. Nous sommes à l’entrée de cette vallée, nous devons en être la vitrine. Conscient du potentiel en matière touristique et économique, notre commune est à un point stratégique de développement à mi-chemin entre Gap et Barcelonnette. »

(3) Si le nom des habitants de La Bréole, les Bréolais / Bréolaises, va de soi, celui des habitants de Saint-Vincent-les-Forts, les Pangouniers / Pangounières, ressemble plus à un sobriquet. Il est construit sur le mot occitan pangoun  qui désigne une attelle, pièce qui ferme le joug sur le col d'un animal de trait, cheval ou bœuf, permettant ici de tirer les grumes de mélèzes jusqu'à l'Ubaye. Le radellage assurait ensuite leur transport jusqu'au Rhône et au-delà. Le sobriquet ferait des Pangouniers ceux qui tirent les grumes, ou, peut-être, au sens figuré, ceux qui vont cahin-caha, ceux qui hésitent... Mistral, t. 2, p. 470.

(4) Plan local d'urbanisme : Rapport de présentation, Saint-Vincent-les-Forts, octobre 2018, p. 16.

(5) Ibid.

(6) Élie Reynier, « Un canton qui décline : Le Lauzet (Basses-Alpes) », Revue de géographie alpine, tome 25, n°1, 1937. p. 230.

(7) Astor, p. 150. Mistral, t. 1, p. 365.

(8) Morabito1, p. 142.

(9) Daniel Thiery, « La Bréole », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 13 décembre 2010, mis à jour le 19 décembre 2010, consulté le 5 mars 2019.

(10) Laurent Del Fabbro, « Essai de datation », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 7 février 2012, mis à jour le 28 décembre 2017, consulté le 5 mars 2019.

(11) Astor, p. 230.

(12) Astor, p. 302.

(13) Croix du Colbas, Carte de Cassini ; Colbas Signal, minutes au 1/40 000 de la carte de l'état-major (1820 - 1866) ; le Colbas, Reynier, op. cit., p. 225.

(14) Christian Michel, « Une frontière convoitée durant trois siècles », Bulletin municipal, Saint-Vincent-les-Forts, 2015. Article non sourcé et souvent copié/collé.

(15) Philippe Truttmann, David Faure-Vincent, « Ensemble fortifié de Saint-Vincent-les-Forts, de l'organisation défensive de l'Ubaye », L'inventaire général de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur, Dossier IA04000031 réalisé en 1993.

Ce n'est qu'au milieu du XIXe siècle que la route actuelle (D 900) fut ouverte, lorsque la construction de la forteresse de Tournoux (1846-66) eût assuré son contrôle au-delà et à l'est de Barcelonnette. Jusque là, malgré les apparences, la vallée de l'Ubaye n'a constitué qu'une voie de pénétration très secondaire impraticable au charroi.

(16) Les Bronseinsq, Carte de Cassini ; Bronseinq, minutes..., op. cit. ; Broncinq, Georges Mantoy, Quelques aspects de la commune de Saint-Vincent-les-Forts [...], Sabença de la Valéia, 1986, p. 2.

(17) Louchette, Carte de Cassini ; L'Houchette, minutes..., op. cit.

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Saint-Vincent-les-Forts

L'émotion physique de Jean Giono devant Saint-Vincent-les-Forts

Inscrit sur la liste noire du Comité national des écrivains et interdit de publication, Jean Giono y fut incarcéré dans l'ancienne caserne  Courtigis le 27 septembre 1944. 

Ubaye-Serre-Ponçon - Saint-Vincent-les-Forts

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Références :

....

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Citer cet article :

Paul Billon-Grand, « Ubaye-Serre-Ponçon - La Bréole - Saint-Vincent-les-Forts »,  Vallouimages, mars 2019.

URL : http://www.vallouimages.com/ubaye/ubaye-serre-poncon.htm

             

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Mars 2009